Appelez-le comme il vous plaira.

Le « Bonus Track« , le « Petit dernier pour la route ».
Le « Finalement, on avait ptêtre pas tout dit », ou le « Promis après, c’est bon ».
Ce chapitre involontaire et inattendu des petites histoires d’Humanitaire Mboro n’en est pas vraiment un.
Il est un aperçu ; un coup d’œil. Une porte d’entrée vers un quotidien hors du commun.
Il vous invite à déambuler, à respirer, à vous remplir de cette torpeur ambiante, à vous enivrer de ses odeurs et à vous saouler de sourires à n’en plus finir.
Il est une excuse pour ne pas dire au revoir, et un prétexte pour s’en aller encore.

Parce qu’à Mboro, les lieux de mission, on les rejoint à pied dans le sable, à coup de charrette tirée par un cheval, ou en taxi brousse. L’électricité est aléatoire, et les soirées au Clair de Lune sont aussi charmantes que les nuit éclairées sont endiablées.
A MBoro, les frites se mangent froides, les toasts sont agrémentés de confitures de baobab, et les boissons sont à la fleurs d’hibiscus. Le café est touba, le poulet à l’arachide, et les bières s’appellent des gazelles.
A MBoro, les plages sont interminables et le ressac inépuisable.
Les sourires sont enivrants, le bonheur contagieux, et la bienveillance omniprésente.
Et c’est un peu pour tout ça qu’on y est si bien.

Alors viens petit, approche copain.
Serre bien tes petites baskets. Chausse bien tes mocassins.
Aujourd’hui on t’emmène en virée en charrette à travers la brousse,
Aujourd’hui, on te remmène avec nous à MBoro.

Inchallah 🙂